ExonHit Therapeutics annonce aujourd'hui que Deborah Smeltzer a été nommée membre de son Conseil de Surveillance lors de l'assemblée générale des actionnaires qui s'est tenue le 27 avril dernier
.
Deborah Smeltzer est Vice Présidente opérations et Directrice Financière de la société californienne Dynavax Technologies Corporation. Elle était auparavant Vice Présidente et Directrice Générale de l'unité d'analyse génétique de la société Applied Biosystems. Avant de rejoindre Applied Biosystems, Madame Smeltzer a été Directrice Financière et Vice Présidente de Genset, alors cotée au Nasdaq et à Paris.
Deborah Smeltzer apporte au Conseil de Surveillance d'ExonHit plus de 20 années d'expérience opérationnelle et financière dans le monde de la biotechnologie, à la fois en Europe et aux Etats-Unis, et une connaissance des marchés de l'analyse génomique, du diagnostic et des vaccins, indique la société. Elle a fait des études scientifiques à l'Université de Californie, et est titulaire d'un MBA de l'Université de Stanford.
Le Conseil de Surveillance de la société ExonHit est présidé par Laurent Condomine, Vice Président du département Business Development et Corporate Strategy d'AstraZeneca, et Edmund Olivier de Vezin, associé général d'une société d'investissement américaine Oxford BioScience Partners, occupe la fonction de Vice Président. Les autres membres du Conseil de Surveillance sont Christophe Jean, Patrick Langlois et Michel Picot, Gilles Brisson ayant quitté le Conseil de Surveillance en février 2007. Le Conseil est composé d'une majorité de membres indépendants.
(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.