Budget Telecom annonce un chiffre d'affaires de 5,6 ME pour le second trimestre 2007, en progression de 35%. Sur l'ensemble du premier semestre 2007, le chiffre d'affaires de Budget Telecom se monte à 10,5 ME, à comparer à un chiffre de 8,3 ME pour la même période de l'exercice précédent (+26%) A périmètre constant, la croissance s'établit à 16%.
Sur l'activité B to C nationale, l'intensification des actions marketing, notamment au travers de la campagne télévisée "grand public", a permis à Budget Telecom d'accélérer son rythme de croissance. Sur l'ensemble du premier semestre, l'activité s'établit à 5 ME, en progression de 39%.
Comme annoncé à l'occasion des résultats annuels, l'activité B to C internationale s'affiche en repli de 8%, à 3,1 ME, dans l'attente de la montée en puissance des nouvelles offres et du lancement de nouvelles offres de téléphonie mobile en direction des résidents étrangers ("full MVNO").
L'activité B to B affiche un rythme de croissance de 18% sur le semestre avec un chiffre d'affaires de 1,5 ME. Budget Telecom continue de bénéficier de son marketing dédié et de son offre complète à destination des téléboutiques et revendeurs en marque blanche.
Pour le second semestre, Budget Telecom déclare afficher de bonnes perspectives tant en terme de croissance que de résultats. Budget Telecom entend poursuivre sa stratégie de prise de parts de marché, qui sera renforcée à court et moyen terme par des opérations de croissance externe. Budget Telecom compte ainsi conforter sa position d'acteur structurant du marché dans l'univers des opérateurs alternatifs.
(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.