Le fonds Tocqueville dividende, géré par Jacques Burlot chez Tocqueville Finance, a pour objectif, dans le cadre d'un horizon de placement à long terme, de protéger le patrimoine du souscripteur. Cet objectif est atteint grâce à l'effet « parachute » des dividendes, qui offrent une rémunération minimum à l'actionnaire. Dans un environnement de marché fragilisé, le dividende versé par l'entreprise représente une forme de protection pour l'investisseur. La gestion du fonds est diversifiée sur 60 à 80 lignes, sachant qu'aucune ligne ne représente plus de 4 % de l'actif. Sa rotation est faible. Il détient toujours une poche de liquidités, pour plus de flexibilité et ne recourt jamais aux produits dérivés. Il y a une prédominance des actions françaises. Le fonds vise, au sein du SBF 250, les sociétés qui offrent un rendement supérieur à 3%, sur la base du dernier dividende connu. Celles-ci représentent 43 % de la capitalisation totale de cet indice. Le gérant opère un « stock picking » et privilégie 3 axes d'investissement : 1) Les valeurs d'actifs décotées, qui ont la capacité de verser des dividendes importants et pérennes. Par exemple : Mittal, acteur global, leader en Amérique du Nord et du sud, en Europe de l'Ouest, en Asie Centrale et en Afrique. Mittal s'engage à verser un pay-out de 30%, offrant un rendement de 4%, avec une décote importante en terme de PE et EV/Ebitda. 2) Les valeurs délaissées ou en situation de retournement. 3) Les sociétés susceptibles de faire l'objet d'une opération financière.
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