SOCIETE GENERALE partenaire de l'APCE

08/10/2007 - 18:15 - Option Finance

(AOF) - Société Générale est devenue le 17 septembre partenaire bancaire de l'Agence Pour la Création d'Entreprises (APCE), agence gouvernementale chargée de promouvoir la création, la reprise et le développement des nouvelles entreprises, et de diffuser l'esprit d'entreprendre en France. Ce partenriat permet à la banque française d'accompagner les créateurs d'entreprise dans leurs projets. Aussi, les porteurs de projet à la recherche d'un partenaire bancaire peuvent désormais entrer en relation avec Société Générale en déposant leur demande de financement directement sur le site www.apce.com. Par ailleurs, Société Générale vient de signer un partenariat national avec le Réseau des Boutiques de Gestion, important réseau d'accompagnement à la création d'entreprise. Ce partenariat, qui repose sur le rapprochement du réseau Société Générale d'une part, et des Boutiques de Gestion d'autre part, vise à faciliter la relation bancaire et l'accompagnement des créateurs d'entreprise. "Avec ce double partenariat, Société Générale affirme sa détermination à orienter et accompagner les créateurs d'entreprise dans les meilleures conditions, tout au long de leur parcours", conclut le communiqué du groupe. (AOF)

EN SAVOIR PLUS

ACTIVITE DE LA SOCIETE

La Société Générale est l'un des premiers groupes financiers de la zone euro. L'activité du groupe s'articule autour de trois grands métiers principaux : la banque de détail pour une clientèle de particuliers et d'entreprises (55 % du produit net bancaire), la banque de financement et d'investissement (30 %), enfin la gestion d'actifs et la banque privée (14 %). Dans la banque de financement et d'investissement, la Société Générale se classe parmi les leaders européens et mondiaux, en marchés de capitaux en euro, produits dérivés et financements structurés. La Société Générale a achevé, à la mi-septembre 2006, la réorganisation de sa banque de financement et d'investissement SGCIB dans le cadre du projet "Step Up" 2010.

FORCES ET FAIBLESSES DE LA VALEUR

Points forts de la valeur

- Le groupe offre des perspectives de croissance attractive dans la banque de détail à l'international, des activités de banques d'investissement solides et diversifiées. - La banque française maîtrise bien ses coûts et sa gestion des risques. - La Société Générale dispose d'une structure financière solide. Elle est de plus réputée pour sa capacité à dégager des flux de trésorerie importants. - SG est le leader mondial des dérivés actions avec une part de marché de l'ordre de 15 %. - Le groupe bancaire est présent dans des pays à fort potentiel, notamment en Europe de l'Est et continue à s'y développer. - La politique de dividende du groupe est appréciée. - Le titre est opéable.

Points faibles de la valeur

- La Société Générale a échoué plusieurs fois dans ses tentatives de rapprochement avec une autre grande banque, française ou européenne. - Certains analystes jugent que le profil de revenus du groupe est plus heurté et plus volatil que celui de ses concurrents. Il est de plus très dépendant de la croissance des profits issus des activités d'investissement et de financement ainsi que de celle du marché français, en raison de l'exposition forte du groupe à la banque de détail en France. - Société Généraletire la majeur partie de ses bénéfices de la banque d'investissement et des réseaux France. Le groupe doit encore accroître sa présence à l'étranger.

COMMENT SUIVRE LA VALEUR

- Les activités de dérivés actions et produits structurés sont dépendantes de l'évolution des marchés financiers. - Par ailleurs, en tant que valeur financière, le groupe est sensible à l'évolution des taux d'intérêts. - Enfin l'évolution de la consommation, de l'épargne et du crédit des ménages a également un impact fort sur la Société Générale, dont plus de la moitié des résultats provient de la banque de détail. - La Société Générale est également l'objet de rumeurs régulières sur un éventuel rapprochement avec d'autres banques, françaises ou internationales, même si sa direction estime être en mesure de faire " cavalier seul ". Dans un contexte de concentration, la banque française peut aussi bien être proie que prédateur.