Recherché ce jeudi à Paris, le titre Genesys prend actuellement 3,4% à 1,22 euro, après une application sur 200.000 pièces négociée à 09h13 sur un cours de 1,23 euro, pour 246 KE (un bloc de 0,29% du capital). Fin septembre, Genesys avait rehaussé ses prévisions d'activité, avec un CA attendu désormais entre 143 et 145 ME sur l'année.
Ayant constaté la forte croissance des volumes réalisés sur les services automatisés de sa plateforme Genesys Meeting Center au cours du 1er semestre 2007, Genesys avait alors revu à la hausse ses objectifs de chiffre d'affaires pour l'exercice 2007, initialement compris entre 138 et 142 ME, et désormais compris entre 143 et 145 ME. Genesys fixait un objectif d'Ebitda 2007, hors charges de rémunération liées aux stock options, dans une fourchette comprise entre 21 et 23 ME. Cette fourchette prend en considération le caractère typiquement saisonnier du résultat d'exploitation des troisième et quatrième trimestres et du montant de charges de restructuration de 0,8 ME enregistrées durant le 1er semestre 2007.
La trésorerie nette de la Société s'élevait à 10 ME au 30 juin 2007, et les flux de trésorerie se sont constamment améliorés au cours des derniers trimestres. Le 31 octobre 2007, la Société devra rembourser un montant de capital de près de 8,5 ME. En outre, la Société a signé un avenant au contrat de prêt actuellement en place. Entre autres modifications, cet avenant prévoit que le remboursement de près de 7,4 ME, initialement prévu pour le 30 avril 2008, soit reporté au 31 octobre 2008. En conséquence, après le remboursement en capital prévu pour octobre 2007, le montant de la dette restant due et venant à échéance le 31 octobre 2008 sera de 18,5 ME.
"Notre situation financière 2007 continue de se renforcer. La trésorerie générée par l'exploitation augmente et l'effet de levier total, inférieur à une fois la dette nette totale sur Ebitda escompté pour 2007, est à son plus bas niveau depuis cinq ans. Nous sommes satisfaits de notre position de liquidité actuelle et prévisionnelle. En outre, nous considérons que la flexibilité accrue dont nous bénéficions, du fait du décalage de l'échéance de remboursement, nous permettra de tirer profit de l'amélioration de notre situation financière en dépit des récentes turbulences sur les marchés de crédit", expliquait encore Andrew Lazarus, Vice Président et Directeur financier.
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