Egide : "Nous n'envisageons pas du tout une augmentation de capital"

25/10/2007 - 17:17 - Boursier.com

Interrogé par Boursier.com

Interrogé par Boursier.com, Philippe Brégi, PDG d'Egide, a estimé que "l'effet devises avait eu trois impacts sur le groupe : un effet mathématique tout d'abord, la moitié des ventes étant réalisées en dollars. Un effet sur les ventes réalisées en France. Et enfin, un effet sur notre compétitivité notamment en Asie, notre principal concurrent étant japonais"..."Le budget initial a été réalisé avec un Euro pour 1,30 Dollar" précise le dirigeant qui poursuit : "Nous avons un décalage de facturations d'embases relais, produit fabriqué à Casablanca. Un de nos clients n'a pas passé de commandes pendant les quatre premiers mois de l'année, contrairement à ce qu'il avait prévu. Nous avions déjà le personnel nécessaire pour traiter ces commandes"..."Par rapport à notre objectif de retour à l'équilibre cash fixé à la fin de l'année 2007, nous enregistrons six mois de décalage, ce qui nous amène à la fin du premier semestre 2008. Notre objectif de rentabilité en 2008 n'est pas remis en cause... Pour tenir ces six mois de retard, nous avons commencé à mettre en oeuvre des solutions de financements alternatifs. Une augmentation de capital ne peut être considérée comme une solution de financement alternatif. Nous n'envisageons pas du tout une augmentation de capital".



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