DreamNex : la direction se défend après la décision du Tribunal de Commerce de Paris

14/12/2007 - 09:46 - Boursier.com

La société Dreamnex a souhaité apporter des précisions sur des éléments de l'article du 13 décembre à 18h30 sur Boursier...

La société Dreamnex a souhaité apporter des précisions sur des éléments de l'article du 13 décembre à 18h30 sur Boursier.com et "entend apporter un démenti formel à plusieurs affirmations publiées : La société Dreamnex y est accusée d'avoir " piraté le logiciel d'un concurrent ". Il y est précisé que ' DreamNex exploite sans autorisation le logiciel, sous le nom "Weflirt" '. Cette interprétation est erronée. Pour clarifier la situation, l'historique doit étre rapidement repris: La société Fincream a créé un premier logiciel de messagerie, qu'elle a par la suite co-développé et co-édité avec la société Dreamnex, laquelle l'a dénommé Dial Messenger, marque déposée de Dreamnex. Fincream, dont le dirigeant a été subitement substitué par un proche collaborateur du groupe Carpe Diem, a décidé de cesser brutalement de fournir à DreamNex le logiciel Dial Messenger en annonçant au surplus l'avoir concédé en licence exclusive à la société Carpe Diem Belgique, qui l'exploite désormais sous le nom " Yes Messenger ". De son côté, Carpe Diem Belgique entendait permettre à Dreamnex de continuer à exploiter le logiciel Dial Messenger, mais moyennant une augmentation très substantielle et innaceptable des redevances. La société Dreamnex a donc fait développer en interne et avec un prestataire technique un nouveau logiciel, aux fontionnalités étendues, qu'elle a dénommé " WeFlirt ". Dans son ordonnance du 28 novembre 2007 le Tribunal de commerce de Paris statuant en référé a simplement prononcé l'interdiction pour Dreamnex d'exploiter " le logiciel de messagerie développé par la société Fincream ", soit le logiciel Dial Messenger co-édité par Fincream et Dreamnex, et nullement le nouveau logiciel We Flirt de la société Dreamnex", conclut le groupe dirigé par Patrice Macar. Dreamnex fait aussi savoir qu'elle a assigné les sociétés Fincream et Carpe Diem Belgique devant le Tribunal de commerce d'Aix-en-Provence pour suspension abusive du contrat de co-édition du logiciel Dial Messenger.



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