Altadis publie un chiffre d'affaires économique quasiment stable au premier semestre, à 1,93 Milliard d'Euros, contre 1,95 MdE au premier semestre 2005.
Le chiffre d'affaires économique du groupe pour le deuxième trimestre s'établit à 1,004 MdE, contre 1,061 MdE en 2005.
Les acquisitions ont eu un impact positif de 47 ME, tandis que l'appréciation du dollar, qui a gagné en moyenne 4,5 % par rapport à l'exercice précédent (1,23 dollar pour 1 euro, contre 1,28 en 2005), a eu un impact de 16 ME sur le chiffre d'affaires économique.
Le chiffre d'affaires économique de la branche Cigarettes s'élève à 819 millions d'euros, contre 998 millions d'euros en 2005. "Ce repli de 179 millions d'euros, en grande partie dû à la hausse des droits d'accise en Espagne, a été accentué par une baisse du niveau des stocks par rapport à l'année précédente", explique Altadis.
Le chiffre d'affaires économique de la branche Cigares s'élève à 450 millions d'euros contre 414 millions d'euros en 2005, en hausse de 36 millions d'euros (+8,7 %), "grâce aux très fortes performances réalisées aux États-Unis ainsi que par les cigares cubains, qui ont été dopées par l'effet dollar", est-il précisé.
Le chiffre d'affaires économique de la branche Distribution ressort à 581 millions d'euros, contre 562 millions d'euros en 2005, soit une progression de 19 millions d'euros (+3,3 %).
Le chiffre d'affaires économique des Autres activités (Aldeasa et frais généraux), s'élève à 100 millions d'euros (contre 51 millions d'euros en 2005), reflétant l'entrée d'Aldeasa dans le périmètre de consolidation le 1er mai 2005.
(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.