Ulric de Varens : le chiffre d'affaires du troisième trimestre affecté, objectif de chiffre d'affaires annuel abaissé à 48 ME

25/10/2006 - 08:44 - Boursier.com

T3 douloureux...

Ulric de Varens fait le point sur les éléments perturbateurs qui ont affecté les comptes du premier semestre et le chiffre d'affaires du troisième trimestre. : "L'élaboration et les lancements des nouvelles gammes de parfums ont nécessité une préparation plus longue que prévu en raison de leur technicité plus élaborée. Leur mise sur le marché a été décalée de six mois et sera effective fin 2006 début 2007. Par ailleurs, l'activité à l'export a été marquée par l'interdiction pour près d'un semestre de la vente de produits alcoolisés en Russie et par les mauvais résultats de la filiale turque que le groupe a décidé de fermer fin septembre." Le chiffre d'affaires sur le troisième trimestre 2006 ressort à 10,06 ME, en croissance de 3,2%. Sur les neuf premiers mois 2006, le chiffre d'affaires s'élève à 29,38 ME contre 25,33 ME soit une progression de 16%. L'ensemble de ces facteurs conduit Ulric de Varens à réviser ses objectifs initiaux d'activité pour l'exercice 2006. Le chiffre d'affaires devrait atteindre un montant proche de 48 ME (contre un objectif initial de 50 ME), soit une croissance de près de 20% par rapport à 2005. La marge d'exploitation devrait être proche de 18%. Pour son prochain exercice 2007, le lancement des nouveaux parfums conjugué au dynamisme des filiales conduit le groupe à tabler sur une croissance à deux chiffres de l'activité avec des résultats en forte progression.



(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.