Umanis a réalisé un chiffre d'affaires de 44,1 Millions d'Euros sur 9 mois à comparer aux 44,1 Millions d'Euros réalisés en 2007. Sur le seul troisième trimestre, le chiffre d'affaires s'établit à 13,386 Millions d'Euros contre 13,922 Millions sur le troisième trimestre 2007.
La Société explique que "cette quasi-stabilité du chiffre d'affaires est réalisée avec un nombre de consultants inférieur. Cela a pour conséquence une amélioration de la marge brute au 3ème trimestre 2008, (par rapport au 3ème trimestre de l'année précédente). Cette amélioration s'explique tant par un taux d'activité optimal (91,2%), qu'une amélioration du tarif journalier moyen".
Au 3ème trimestre, les ratios frais commerciaux/chiffre d'affaires (5,8%), ainsi que frais administratifs/chiffre d'affaires (6,3%), ont atteint les critères, parmi les plus performants de la profession. La marge opérationnelle sur le 3ème trimestre est en amélioration par rapport à celle réalisée sur le premier semestre 2008 qui s'établissait à 5,74%.
Le ralentissement observé, dès le 4ème trimestre 2007, des investissements informatiques des banques s'est accéléré depuis l'été. Le groupe ne réalisant que 15% de son chiffre d'affaires sur ce secteur, y enregistre une légère décroissance, compensée par le dynamisme des activités dans les télécommunications, l'énergie et l'industrie.
Perspectives pour la fin de l'année, le Groupe explique qu'il maintient son objectif d'augmentation de la marge opérationnelle et son investissement dans l'augmentation de la force commerciale en vue d'assurer une croissance organique "forte" en 2009.
(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.