Après la plainte déposée à son encontre, lundi, pour diffamation, et les déclarations de Nonce Paolini estimant ce matin sur RTL "avoir été atteint dans son honneur", PPDA a usé de son droit de réponse, à la mi-journée, sur la même chaîne de radio. Manifestement, l'ex-présentateur du 20H de TF1 avait une véritable volonté d'apaisement : "Je n'ai aucune envie d'attaquer TF1 en diffamation, et Dieu sait si on me diffame à peu près tous les jours. Tout le monde semble être sur le pont... Il doit y avoir panique... Je ne sais pas ce qu'il y a pour que tant de collaborateurs soient mobilisés pour s'en prendre à moi ! C'est dernière moi tout cela, toute cette histoire... Je n'ai aucune amertume, aucun ressentiment, aucune aigreur... Je n'ai aucune espèce d'envie de polémiquer avec TF1" a déclaré Patrick Poivre d'Arvor.
Evoquant la démarche du Président de TF1, le présentateur vedette a ajouté : "J'ai l'impression qu'il ne respecte surtout pas la personne qui pendant 21 ans leur a fourni une audience exceptionnelle, des temps bénis qui apparemment ne sont plus ceux-là !... Mais, on ne va pas non plus pleurer comme cela en permanence sur les années perdues...".
Patrick Poivre d'Avor a ajouté : "Ils ont choisi de me licencier. Voilà... Il faut assumer les conséquences de ce licenciement. Moi, ma vie est ailleurs maintenant...".
PPDA a conclu : "Je n'ai rien dit sur le journal de Laurence depuis son arrivée, et cela fait 6 mois aujourd'hui, jour pour jour que j'ai présenté mon dernier journal... Je pense qu'il doit y avoir quelques péripéties à TF1 pour qu'ils perdent à ce point leur calme..."
(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.