Les autorités britanniques doivent se prononcer sur les besoins nucléaires du pays d'ici la fin de l'année pour qu'EDF s'engage à disposer d'un réacteur de nouvelle génération (EPR) pour 2017 outre-Manche, a déclaré Pierre Gadonneix, le patron du groupe français, dans un entretien au 'Financial Times'. Le dirigeant, dont l'entreprise a officiellement acquis hier son homologue British Energy, milite pour un cadre réglementaire précis de la part de Londres, avant de lancer des projets d'envergure.
Gadonneix a par ailleurs indiqué qu'EDF reste favorable à l'entrée d'autres électricien au capital de ses nouvelles centrales, à l'image de ce qui a été conclu avec ENEL à Flamanville (l'italien détient une part de 12,5% du projet).
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