Arkema "s'étonne des résultats de mesures ponctuelles anormalement élevées de mercure dans l'atmosphère réalisées par l'association France Nature Environnement (FNE) à proximité de son site de Jarrie (Isère), en contradiction avec ses propres mesures et celles de l'ASCOPARG".
La direction de l'usine basée au sud de Grenoble souligne que "le résultat obtenu est en contradiction avec le suivi régulier de la teneur en mercure de l'atmosphère effectué par l'usine et avec les valeurs relevées par l'ASCOPARG, le réseau local de suivi de la qualité de l'air, au cours d'une campagne de mesures étalées sur 18 mois". Elle indique cependant que "dans un souci de totale transparence et avec la volonté de disposer d'éléments parfaitement objectifs fondés sur une approche rigoureuse et contradictoire", elle est favorable à la réalisation d'une campagne de prélèvements, dont les conditions seraient définies conjointement par l'ensemble des parties intéressées et qui serait conduite sous le contrôle de la DRIRE.
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