Société des Bains de Mer : signature des accords entre la S.B.M. et Financière Lov

11/02/2009 - 19:49 - Boursier.com

Faisant suite à l'annonce en date du 25 novembre dernier concernant leur intention d'établir un partenariat dans la perspective de l'évolution de la...

Faisant suite à l'annonce en date du 25 novembre dernier concernant leur intention d'établir un partenariat dans la perspective de l'évolution de la réglementation des marchés français et européens des jeux en ligne, la S.B.M. - Société des Bains de Mer et du Cercle des Etrangers à Monaco - et Financière Lov, société holding contrôlée et présidée par Stéphane Courbit, ont signé à Paris un ensemble de conventions organisant leur collaboration et la prise de participation de la S.B.M. dans la société Mangas Gaming, par la souscription à une augmentation de capital lui assurant 50% du capital de cette société - à parité avec Financière Lov. Mangas Gaming contrôle aujourd'hui l'opérateur de jeux en ligne BetClic et cet apport de fonds lui permettra de financer son développement dans ce secteur, tandis que S.B.M. pourra, grâce à ce partenariat, valoriser dans le domaine des jeux en ligne la notoriété et le prestige des marques Monte-Carlo S.B.M. Ces accords sont soumis à certaines conditions suspensives, y compris notamment les dispositions usuelles concernant l'accord des autorités réglementaires. Rappelons que la Financière Lov, holding patrimonial de Stéphane Courbit, à créé en 2008 la société Mangas Gaming, qui contrôle aujourd'hui 75% de la société Betclic, opérateur de paris sportifs et de jeux en ligne présent en Europe.



(c) Boursier.com - Les informations rédigées par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Ces contenus n'ont aucune valeur contractuelle et ne constituent en aucun cas une offre de vente ou une sollicitation d'achat de valeurs mobilières ou d'instruments financiers. La responsabilité de la société Boursier.com et/ou de ses dirigeants et salariés ne saurait être engagée en cas d'erreur, d'omission ou d'investissement inopportun.