Dans son édition datée du 21 avril "Le Monde", citant l'AFP, indique qu'une "enquête préliminaire a été ouverte, lundi 20 avril, sur les conditions financières de la rémunération et du départ de l'ancien président du groupe Vinci, Antoine Zacharias, pour abus de biens sociaux et abus de pouvoir."
Le quotidien précise que "l'abus de biens sociaux concernait le montant des rémunérations particulièrement importantes qui ont été versées à l'ancien président du conseil d'administration du groupe. M. Zacharias avait démissionné de son poste le 1er juin 2006, sous la pression du conseil d'administration de Vinci, avec une indemnité s'élevant à 12,9 Millions d'Euros. Il avait assigné l'entreprise en justice pour obtenir 81 Millions d'Euros supplémentaires mais avait été débouté par le tribunal de commerce de Nanterre".
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