ENTREPOSE CONTRACTING : chiffre d' affaires neuf mois en hausse de 33,9%

03/11/2009 - 08:58 - Option Finance

(AOF) - Entrepose Contracting a réalisé durant les neuf premiers mois de l'année 2009 un chiffre d'affaires consolidé de 430,3 millions d'euros, en hausse de 33,9%. La répartition géographique de l'activité des neuf premiers mois de l'exercice 2009 est la suivante : 57% en Afrique, 23% en Europe, 17% en Amérique et 3% en Asie (dont 2,5% au Moyen-Orient). Le carnet de commandes s'élève à 852 millions d'euros au 1 octobre 2009. L'activité commerciale reste soutenue et concerne l'ensemble des segments, a indiqué la société de services pétroliers, filiale de Vinci. Dominique Bouvier, PDG d'Entrepose Contracting, a déclaré: " Le chiffre d'affaires du troisième trimestre est en ligne avec nos anticipations. La réalisation des projets en cours se déroule en conformité avec notre plan de marche tandis que nous continuons à connaître une activité commerciale intense ".

AOF - EN SAVOIR PLUS

LE SECTEUR DE LA VALEUR

Pétrole et parapétrolier

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a révisé à la hausse ses prévisions pour la demande de pétrole. Cette dernière devrait diminuer cette année de 2,2% par rapport à l'an dernier, contre une baisse de 2,7% précédemment estimée. Ces données plus optimistes reflètent la croissance de la consommation chinoise et la demande plus forte que prévue aux Etats-Unis. L'IAE estime désormais que la demande devrait atteindre 84,4 millions de barils par jour (mbj) cette année. Pour 2010, elle devrait s'accroître de 1,5%, à 85,7 mbj. Selon l'Agence deux scénarios peuvent être envisagés pour l'avenir. Dans le premier, la croissance mondiale atteindrait 5% par an en 2012-2014. La demande de pétrole augmenterait alors de 1,4% par an après 2009. Dans ce cas un " choc pétrolier " risque de survenir car les compagnies reportent actuellement leurs investissements actuels, ce qui pénalise l'offre future. Dans le second scénario, la croissance mondiale serait plus limitée, de l'ordre de 3% par an sur la période 2012-2014. La demande serait alors satisfaite par l'offre et tout " choc pétrolier " serait écarté.