Forte de son taux de natalité, la France peine à offrir aux parents des solutions adéquates pour faire garder leurs enfants. La Part de Rêve s'est donc lancé il y a 7 ans sur le marché porteur des crèches privées grâce à deux chefs d'entreprise dont Ronan Le Boulaire. Aujourd'hui, la société compte 22 établissements sur l'ensemble du territoire hexagonal et souhaite continuer son développement en proposant de plus en plus de crèches communales ou interentreprises clés en main.
A 33 ans le co-fondateur de la Part de Rêve a déjà fait montre d'un certain talent en matière de création d'entreprises. Le jeune patron compte déjà cinq créations de sociétés à son actif. Contrairement à beaucoup de Français Ronan Le Boulaire n'a pas hésité à franchir le cap D'après lui, l'explication est assez simple, le fait d'avoir franchi une première fois les obstacles, notamment administratifs, qui se dressent devant tous ceux qui souhaitent se lancer dans l'aventure entrepreneuriale, rend la tâche beaucoup aisée par la suite. « Quand on y est déjà passé une fois on a les clefs pour recommencer beaucoup plus rapidement car on ne refait plus les mêmes erreurs » lance le Directeur général adjoint de La Part de Rêve un réseau de structures dédiées à la petite enfance qu'il a co-fondé en 2004. La Part de Rêve regroupe des crèches privées sur l'ensemble du territoire hexagonal, un secteur qui ne manque pas de débouchés. La France, connaît depuis plusieurs années un taux de natalité important. Partant, le marché de la garde d'enfants ne cesse de grandir. Aujourd'hui, le potentiel en termes de garde d'enfants de 0 à 4 ans est de 2,5 millions dont « seulement 14 % sont actuellement placés en crèches » rappelle le jeune patron. Pour développer ce mode de garde et augmenter le nombre de places, encore limité dans le public, les fondateurs de La Part de Rêve ont choisi de se différencier des autres acteurs du secteur. Tout d'abord, les crèches ouvertes sous la marque La Part de Rêve ont pour principe d'adapter l'amplitude horaire aux besoins des parents. Si c'est nécessaire, la crèche est ouverte de 6H00 à 20H00 y compris le samedi. Ensuite, grâce au concours des entreprises, les crèches du groupe La part de Rêve sont idéalement proches du travail des parents. Des objectifs qui ne peuvent être atteints qu'en faisant collaborer les entreprises dès la genèse du projet. Toutefois, l'entreprise ou les entreprises doivent obligatoirement prendre en charge une partie du fonctionnement de la structure puisque La Part de Rêve propose des tarifs identiques à ceux du public. Sans elles, « les projets ne seraient donc pas viables » insiste Ronan Le Boulaire. Cet abondement financier, les entreprises l'amortissent puisque en plus de valoriser leur image, cela diminue le temps de trajet des salariés augmentant dans le même temps leur disponibilité et leur tranquillité d'esprit. Des parents sereins qui n'ont aucune inquiétude à nourrir quant à la qualité du service proposé dans les crèches La Part de Rêve car les différents autorités ont les mêmes exigences et opèrent les mêmes contrôles que les crèches soient privées ou publiques. La société a bien grandi et possède désormais 22 établissements en France et dénombre déjà 200 salariés mais d'ici à 4 ans « on estime qu'on atteindra à peu près les 2.000 places contre 600 aujourd'hui » avance le co-fondateur de la Part de Rêve qui n'a pas ni la tête dans les nuages ni dans la lune et garantit que le financement de leur développement est d'ores et déjà assuré. Ce succès le jeune créateur attribue avant tout à sa détermination. « Pour réussir une création d'entreprise ce qui compte c'est avant tout c'est la volonté et la détermination et non l'idée elle-même » revendique Ronan Le Boulaire.
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