(AOF / Funds) - D'un point de vue économique, la société de gestion prévoit " une nouvelle année de croissance faible et de volatilité ". L'inflation globale resterait également volatile et les politiques seraient toujours paralysées. Dans ce contexte, ING IM considère que l'obligataire entre en 2012 avec des risques extrêmes, et les risques liés à la crise de l'euro persistent. " Nous passons à sous pondéré sur les papiers à spreads et les obligations d'Etat " indique ING IM. Sur les actions, la société de gestion est aussi sceptique, sauf sur les petites capitalisations. En effet, " la faiblesse du cycle économique et l'aversion au risque sont les principales raisons de la récente sous performance des petites capitalisations. Cette sous-performance pourrait durer au 1 semestre 2012 puisque ces facteurs persistent. Ainsi, les petites capitalisations américaines pourraient être les premières à rebondir ". Enfin, " l'absence de résolution de la crise de la dette européenne pèse sur les matières premières. La route devant nous est chaotique, mais pourrait être un facteur de soutien " souligne ING IM. AUT/ALO