RBS : Sébastien Rozès devient DG en France

16/05/2012 - 09:11 - Option Finance

(AOF) - The Royal Bank of Scotland (RBS) a annoncé la nomination de Sébastien Rozès comme directeur général de RBS en France, Belgique et Luxembourg. Il conserve son rôle de responsable des relations avec les entreprises pour RBS en France, en Belgique et au Luxembourg. Il succède à Pascal Poupelle qui devient Non-Executive Chairman de RBS France. Sébastien Rozès sera membre du Comité de Direction de RBS Markets & International Banking pour l'Europe et le Moyen Orient. Il prendra ses fonctions le 1er juillet 2012. John Hourican, Chief Executive Officer de RBS Markets & International Banking, a commenté cette nomination: " Sébastien Rozès dispose d'une large expérience de la banque de financement et d'investissement, construite pendant plus de vingt ans dont la moitié au niveau international. Elle lui permettra de poursuivre le développement des activités auprès de nos clients institutions financières, grandes entreprises et organismes publics de RBS en France, en Belgique et au Luxembourg, marchés qui sont au coeur de la stratégie de RBS ".

AOF - EN SAVOIR PLUS

LE SECTEUR DE LA VALEUR

Finance - Banques

La crise de la dette fait peser une vraie menace sur le secteur bancaire. 2012 est une année marquée par le renforcement de la réglementation et les incertitudes conjoncturelles. L'agence de notation Moody's a annoncé qu'elle pourrait abaisser les notes de dix-sept grandes banques internationales et de cent-quatorze institutions financières européennes, pour tenir compte de l'impact de la crise de la dette souveraine sur le système financier. Ce sont les établissements actifs sur les activités de marché qui sont les premiers concernés par ces dégradations, du fait notamment de conditions de financement plus difficiles. Neuf banques visées par ces dégradations sont européennes, car elles ont été particulièrement touchées par la crise de la zone euro. Si les notes de BNP Paribas, Crédit Agricole, Deutsche Bank, HSBC et Barclays pourraient être révisées de deux crans, celles de Credit Suisse, UBS et Morgan Stanley pourraient même être abaissées de trois degrés. FTB/ACT/