(AOF) - NotreFamille.com a enregistré au deuxième trimestre 2012 un chiffre d'affaires consolidé de près de 3 millions d'euros, en léger repli de 1,2%. Le chiffre d'affaires organique (hors filiale Archimaine) ressort stable à 2,7 millions. En cumul sur 6 mois, le chiffre d'affaires consolidé s'établit à 5,6 millions. Le chiffre d'affaires organique (hors filiale Archimaine) de NotreFamille.com pour la période ressort à 5 millions. L'activité Publicitaire a connu une bonne croissance au deuxième trimestre, a souligné le site Internet spécialisé. L'activité Publicitaire a connu une bonne croissance au deuxième trimestre. Cette progression est portée par la multiplication des opérations spéciales à forte valeur ajoutée et la fidélité des annonceurs. Parallèlement, l'audience du portail a progressé de 7% à 3,7 millions de visiteurs uniques en mai 2012 contre 3,4 millions en mai 2011, selon le panel Nielsen NetRatings. En E-commerce, la société a privilégié l'amélioration de la rentabilité de l'activité. Si le chiffre d'affaires est en léger repli sur la période, la marge brute s'est en revanche améliorée, et les investissements marketing ont été réduits. En Généalogie, la société a poursuivi l'enrichissement de ses collections généalogiques au cours du semestre. Les abonnés de Genealogie.com accèdent désormais à plus de 470 millions d'informations. En parallèle, Genealogie.com continue de mener des discussions avec des départements pilotes pour aboutir à la signature de licences de réutilisation. L'évolution favorable du mix produit lors des six premiers mois de l'année, combinée à une optimisation des charges sur la période, permettent à la société d'être confiante dans l'amélioration de son résultat d'exploitation au premier semestre.
Internet - FAI et sites internet
Selon une étude du Boston Consulting Group (BCG), d'ici à quatre ans, 3 milliards d'internautes existeront à travers le monde, contre 1,9 milliard en 2010. Cette croissance importante est tirée par deux tendances : l'accès à Internet sur les téléphones mobiles et tablettes, et le développement de l'Internet "social", avec le succès des réseaux sociaux. L'économie Internet devrait représenter une valeur de 4 200 MdUSD en 2016, contre 2 300 MdUSD en 2010. Parmi les pays du G20, le Royaume-Uni serait celui qui enregistrerait la plus forte contribution d'Internet à son PIB (produit intérieur brut). En 2016, Internet devrait représenter 12,4% de son PIB. C'est bien mieux qu'en Corée du Sud (8%) ou en Chine (6,9%), où le nombre d'internautes est en plein essor. Cette part serait également bien supérieure à celle existant dans l'Europe des 27 pays (5,7%), aux Etats-Unis (5,4%), au Canada (3,6%) ou en France (3,4%). Selon BCG, en encourageant les entreprises à être actives sur Internet pour resserrer les liens avec leurs clients, les pays pourraient améliorer leurs perspectives de croissance. FTB/ACT/