L'annonce du projet de rapprochement d'EADS et du britannique BAE a abouti à la sanction boursière du premier. Sanction logique aux yeux de Pierre-Yves Gauthier, président d'AlphaValue, les actionnaires d'EADS étant quelque peu lésés selon lui. Pourquoi, alors que les actionnaires du constructeur de l'A 380 détiendront 60 % du nouvel ensemble ? Quelle attitude adopter à l'égard du titre ? Réponses dans l'Œil du Pro.
La nouvelle du projet de fusion entre le consortium aéronautique européen EADS (NL0000235190) et le géant britannique de la Défense BAE Systems n'a pas eu l'heur de plaire aux investisseurs. L'action EADS a vu en une semaine fondre de 15 % sa capitalisation boursière dans le sillage de cette annonce. Pour Pierre-Yves Gauthier, président fondateur du cabinet d'analyse indépendant AlphaValue, aucun mystère à cela, les actionnaires d'EADS se trouvant floués selon les termes actuels de l'opération. Dans quelle mesure est-ce le cas ? Ce rapprochement entre BAE Systems et EADS est-il vide de sens industriellement ? La gouvernance très politique d'EADS va-t-elle être encore complexifier avec l'arrivée des Britanniques ? Que faut-il faire avec le titre EADS ? La baisse du cours de ce dernier doit-elle être mise à profit ? Autant de questions que nous avons posées à Pierre-Yves Gauthier. Pour découvrir l'analyse de Pierre-Yves Gauthier (AlphaValue), cliquez sur la vidéo ci-dessus La société Sicavonline dispose d'une équipe de journalistes professionnels en charge de la rédaction des articles de www.sicavonline.fr. Les conseils donnés relatifs aux instruments financiers ou aux placements sont en conformité avec la profession et sur la base de sources sérieuses et réputées fiables. La responsabilité d'investir ne saurait être imputée à la rédaction de Sicavonline du fait de leur utilisation.
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