AKKA TECHNOLOGIES confirme ses objectifs annuels

09/09/2013 - 18:32 - Option Finance

(AOF) - Assystem a fait état après Bourse d'un résultat net part du groupe de 15 millions d'euros au premier semestre, soit 0,4 million de plus qu'un an auparavant. Le résultat opérationnel s'est quant à lui établi à 22,9 millions d'euros, soit 5,2% du chiffre d'affaires, contre 26,9 millions et 6,3% du chiffre d'affaires au premier semestre 2012. Le chiffre d'affaires du groupe, qui a souligné la "bonne tenue des secteurs stratégiques nucléaires et aéronautique", est par ailleurs ressorti à 436 millions d'euros, à comparer à 427,1 millions. Il a donc progressé de 2,1% (+1,6% en organique). Hors effet calendaire défavorable, la croissance organique s'est élevée à 4,5%. Les 2 activités stratégiques du groupe, le nucléaire et l'aéronautique, se sont illustrées, affichant des progressions de respectivement 15 et 9,6%. Concernant ses perspectives, Assystem a indiqué que son plan de croissance et d'investissements continuera à être appliqué au cours des prochains exercices, "principalement sur le nucléaire et l'aéronautique, tous deux porteurs d'un potentiel de croissance durable pour le groupe". S'agissant de l'exercice en cours, dans un contexte macro-économique toujours contrasté, l'entreprise a confirmé son objectif d'une croissance organique du chiffre d'affaires annuel comprise entre 2 et 5%.

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LE SECTEUR DE LA VALEUR

Services aux entreprises

Subissant la contraction de l'activité économique et le durcissement de la concurrence, les grands groupes de travail temporaire ont affiché une dégradation de leurs performances l'an passé. Adecco a vu son chiffre d'affaires baisser de 3% à 20,53 milliards d'euros et ses bénéfices nets chuter de 27% à 377 millions d'euros. Le leader mondial du travail temporaire a dû affronter une diminution du nombre de travailleurs temporaires en mission (-11,5%). Ce sont essentiellement les mauvais résultats de sa filiale française, qui représente quasiment le quart de son activité, qui expliquent le recul de ses indicateurs. Synergie a pu maintenir son activité en 2012 (à 1,44 milliard d'euros) grâce à une solide présence à 'international. Ses revenus hors de France représentent 43% de son activité. Toutefois, en dépit d'un renforcement de la maîtrise de ses coûts, le résultat opérationnel a été ramené de 48,2 millions d'euros en 2011 à 40,4 millions en 2012. Quant à Randstad, numéro deux mondial de l'intérim, son bénéfice net a chuté de 79% à 36,7 millions d'euros. Néanmoins, porté par les acquisitions aux Etats-Unis, le chiffre d'affaires s'est développé de 5% à 17,1 milliards d'euros. FTB/ACT/