LE NOBLE AGE : résultats 2013 solides

09/04/2014 - 18:21 - Option Finance

(AOF) - Le Noble Age a dévoilé jeudi après Bourse un résultat net part du groupe en hausse de 23,9% au titre de son exercice 2013 à 7,7 millions d'euros. L'Ebitda du spécialiste des soins à domicile a, lui, atteint 31,5 millions d'euros, en progression de 40,4% sur un an, pour représenter 9,7% du chiffre d'affaires (8,7% en 2012). Le résultat opérationnel courant (ROC) a pour sa part crû de 36,1% à 24,9 millions d'euros, tandis que le chiffre d'affaires a augmenté de 25,2% à 324,2 millions d'euros. Cette hausse traduit la transformation en cours du parc d'établissements et une contribution accrue du chiffre d'affaires immobilier à 71,5 millions d'euros. L'activité Exploitation, la plus importante du groupe, a quant à elle vu ses ventes s'établir à 252,6 millions, ce qui représente une croissance de 16,7%. "L'accélération de la croissance externe à +10% a permis au groupe d'accroître la taille du réseau avec 782 unités supplémentaires", a précisé Le Noble Age, dont le réseau en exploitation comprenait 5 494 lits répartis sur 60 établissements au 8 avril, "dont 3 648 lits se situent en régime de croisière, soit une hausse du parc de lits matures de 227 unités par rapport à 2013". Concernant ses perspectives, le groupe anticipe un chiffre d'affaires Exploitation de 290 millions cette année, avec un mix de croissance fait d'un tiers de croissance organique et de deux tiers de croissance externe. Il vise en outre un ROC consolidé de 35 millions d'euros à l'horizon 2017, "sur les fondements du modèle du régime de croisière qui soutiendront la mise en place d'une politique de distribution active".

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Neuf géants européens de l'énergie (Enel, Eni, E.ON, Gas Natural, GasTerra, GDF Suez, Iberdrola, RWE et Vattenfall) ont proposé une série de réformes dans le cadre de la mise en place d'un plan d'urgence. En jeu : la diminution de la consommation d'énergie, du fait de la concurrence des énergies renouvelables, et la baisse des prix. Les groupes proposent, entre autre, de freiner le développement des énergies vertes lourdement subventionnées. Ils suggèrent également de relancer le marché européen du carbone et de réserver les subventions aux technologies ayant réellement besoin d'un soutien de lancement, comme l'hydrolien ou l'éolien en mer. FTB/ACT/