Bourse : peut-on encore se fier au cycle économique pour anticiper la tendance ? [VIDEO]

02/05/2019 - 15:38 - Sicavonline

Une interview de Christian Parisot, chef économiste d’Aurel BGC, dans « l’œil du Pro ».


Traditionnellement, le comportement de la bourse a été associé au cycle économique, les investisseurs anticipant l’incidence sur les profits des fluctuations de l’activité économique. Il semble cependant que le glissement depuis 2008 des banques centrales dans l’hétérodoxie financière ait adultéré la relation entre cycle et bourse, d’autant que le premier, particulièrement aux Etats-Unis, s’éternise (NDLR : le cycle américain de reprise de la croissance a débuté en juin 2009, il est d’ores et déjà le deuxième plus long de l’histoire juste derrière celui qui s’étala durant 119 mois de 1991 à 2001. La phase actuelle de croissance détrônera ce dernier si elle se prolonge jusqu’en juin de cette année). Autre source de perplexité des investisseurs, la contradiction des signaux émis par le cycle, lui-même, et ses afférents. Le plein emploi règne outre-Atlantique, les marges des entreprises culminent à des niveaux records, mais l’inflation reste hors du champ ; dans le même temps, valeurs cycliques et défensives n’ont pas les comportements attendus dans l’hypothèse d’une récession prochaine.

Existe-t-il, partant, encore des indicateurs de cycle permettant d’anticiper le comportement des marchés actions ? Quelle trajectoire plausible se dessine pour la bourse dans les mois à venir et comment se positionner ? Christian Parisot, chef économiste chez Aurel BGC, nous livre son analyse.

Afin de regarder l’interview de Christian Parisot (Aurel BGC) sur le cycle, cliquez sur la vidéo ci-dessus.

© Synapse. Les contenus (vidéos, articles) produits par Synapse font appel à des journalistes professionnels. Ils ne constituent pas des conseils en investissement ou des recommandations personnalisées. Le diffuseur n'a participé ni à l'élaboration de ce contenu ni à la sélection des valeurs/fonds mentionnés. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L'investissement sur les marchés comporte un risque de perte en capital et aucune garantie de gain ne peut être octroyée.