…pour Véronique Riches Flores, économiste indépendante et fondatrice du cabinet Richesflores Research.
« Les nombreuses mesures de soutien adoptées l’an dernier [en Chine] n’ont pas permis de stabiliser la situation économique du pays. Celles de demain ont peu de chances d’y parvenir tant sont nombreux les freins structurels aujourd’hui à l’œuvre, » écrivait en mars dernier Véronique Riches-Flores économiste indépendante et fondatrice du cabinet Richesflores Research dans une étude consacrée à l’Empire du Milieu. Ce jugement grinçant portait en lui suffisamment de mauvais augures pour la croissance mondiale comme pour les investisseurs –tant la Chine de par le poids considérable qu’elle représente constitue l’un des déterminants majeurs de la macro- et de la microéconomie– qu’il nous fallait découvrir si les deux mois écoulés depuis son émission l’avaient tempéré ou bien au contraire lui avaient fourni une assise encore plus solide. Le titre de cet article ne laisse que peu ou pas de doute quant à la réponse à cette interrogation. Mais il convient de s’arrêter sur ce qui étaye le diagnostic de Véronique Riches-Flores.
Afin de découvrir ce qui cloche en Chine, cliquez sur l’interview vidéo de Véronique Riches-Flores ci-dessus
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