Le baril de brut tente de se stabiliser ce mercredi, sur les 51$ désormais (référence new-yorkaise), au plus bas depuis juin 2005. Les commentaires provenant de l'Arabie Saoudite ont en effet contribué à éloigner l'espoir d'une intervention de l'OPEP face à la chute des cours. En outre, les conditions climatiques clémentes en Amérique du Nord et les prévisions de demande mondiale assez modérées tendent à mettre la pression sur les prix du pétrole. La barre des 50$ demeure importante d'un point de vue psychologique sur le Nymex américain.
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