Alors qu'EADS s'effondre de 18% après l'annonce de retards sur l'A380, le dossier Zodiac n'est guère mieux loti en bourse puisqu'il s'enfonce de 8% à 36,70 euros. Une relation de cause à effets qui s'explique par l'importance du projet A380 pour le groupe, qui fournit de nombreux systèmes au très gros porteur d'Airbus, du système carburant à celui d'évacuation des déchets, en passant par les tableaux de commande ou l'alimentation électrique. Comme les équipementiers supportent environ le tiers des coûts de développement de l'appareil, on comprend que ce retard inquiète les actionnaires de Zodiac...
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