(AOF / Funds) - " Parce que les matières premières servent de couverture au billet vert, les Etats-Unis ne sont plus indifférents à la valeur externe de leur monnaie ", affirme Banque Leonardo. Selon le stratège, la baisse du dollar était synonyme de normalisation jusqu'à fin août après que le billet vert a servi de valeur refuge pendant la crise. Au cours de cette période, la hausse du pétrole induite par la reprise économique pesait sur le dollar. Depuis, l'or s'est substitué au pétrole accusant, selon François Chevallier, la Chine et son souhait affiché de diversifier ses réserves de change. D'après ses estimations, si d'aventure l'once d'or grimpait à 1 200 dollars, comme d'aucuns l'anticipent, l'euro serait alors valorisé à plus de 1,70 dollar. Banque Leonardo estime cependant que les européens peuvent compter sur la toute nouvelle solidarité des Américains, condition indispensable au succès des interventions des banques centrales. En effet, à corrélation inchangée, un euro à 1,72 dollar valorise le baril à 150 dollars. Selon la banque, la baisse du dollar devrait être stoppée au besoin par des interventions coordonnées des banques centrales autour du plancher historique de 1,60 dollar/euro.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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