(AOF) - Keyyo a annoncé la signature d'un protocole d'accord avec les sociétés du groupe Amouroux lui permettant d'acquérir l'intégralité de sa participation au sein du groupe. A l'issue de cette opération, Keyyo portera sa participation de 5% à 33% du capital et de 3,3% à 26% des droits de vote de la société Normaction. Cet accord reste soumis à la ratification par la prochaine assemblée générale du 30 septembre 2010 d'un accord transactionnel entre la Société Normaction et les sociétés contrôlées par Jean Marc Amouroux ainsi que son homologation par le tribunal de commerce de Nanterre. L'opérateur de téléphonie rappelle, outre cette participation directe dans Normaction, qu'il détient d'ores et déjà des obligations convertibles pour un montant cumulé de 1,5 millions d'euros donnant droit à 20 % du capital de la société en cas de conversion. Cette opération constituerait une étape majeure dans la clarification de l'actionnariat de la société dans la mesure où Keyyo en deviendrait de facto son actionnaire de référence. Keyyo précise que cet accord s'est réalisé en pleine concertation avec les principaux actionnaires de la société dont Risc Group qui détient à ce jour 21 % du capital. Keyyo indique qu'il est prêt à accompagner la restructuration de Normaction dans le cadre d'un renforcement prévu des fonds propres de la société. " Par cette opération, Keyyo devrait accélérer significativement sa croissance sur le marché de la téléphonie des TPE/PME en diffusant via le réseau de vente de Normaction son catalogue d'offres à un portefeuille riche de plus de 9.000 clients ", a conclu la société.
Opérateurs télécoms
Les experts estiment que d'ici à 2015 les revenus générés par l'explosion du trafic mobile devraient au mieux compenser la baisse continue du chiffre d'affaires des communications téléphoniques (chiffrée à 4% annuellement). Les opérateurs se plaignent de devoir financer seuls de lourds investissements dans les réseaux de télécommunications. Ils sont confrontés à des investissements très lourds ; selon l'Idate, 300 milliards d'euros seront nécessaires pour remplacer le cuivre par de la fibre optique en Europe. Le Vieux-continent est déjà en retard dans le très haut débit. Or, face à des conditions de financement qui se sont durcies, les intervenants vont éprouver des difficultés à engager les dépenses. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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