(AOF / Funds) - "Un pic potentiel des spreads de crédit affecterait directement la volatilité des actions, pesant ainsi sur les indices actions. Nous ne tablons pas sur un élargissement significatif des spreads des obligations d'entreprise, mais préférons les actions. En outre, nous tablons sur un regain de l'activité des fusions-acquisitions pour l'année à venir, les entreprises étant dotées d'une trésorerie importante et d'un coût de la dette toujours très faible. Lorsque le cycle de fusions-acquisitions redémarre, il vaut mieux préférer les actions au crédit", note SG Cross Asset Research. "Dans la mesure où les rendements des obligations d'entreprise sont tombés à leur plus bas niveau depuis vingt ans, il est logique qu'un grand nombre de sociétés procèdent actuellement à de nouvelles émissions de dettes afin de refinancer la dette antérieure, de financer des acquisitions ou de racheter des actions. Ce dernier phénomène est connu sous le nom de dé-equitisation, les actions étant remplacées par la dette. La dé-equitisation dans un contexte où le coût de la dette est inférieur au coût des actions est relutif sur les bénéfices et constitue un facteur qui devrait soutenir la performance des actions par rapport aux obligations d'entreprise." AUT/ALO
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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