(AOF / Funds) - "Après les petits, les gros. Le marché semble avoir compris que le sommet européen du 21 juillet dernier n'a finalement apporté qu'une solution de bricolage pour pallier les difficultés des seuls petits pays périphériques de l'Union. C'est au tour de l'Italie d'être ainsi la proie des spéculateurs qui se focalisent sur son stock de dette publique élevé, et dont les besoins de financement pour la seule année 2011 sont proches de la capacité résiduelle de financement de l'EFSF", note vendredi Natixis. "Malgré une capacité historique à dégager des excédents primaires et une structure de la dette par type de détenteurs et d'instruments qui offre une certaine protection contre la remontée des taux, le stock de dette (120% du PIB) expose naturellement la soutenabilité des finances publiques italiennes aux conditions de marché et aux craintes excessives des investisseurs." "Le risque auto-réalisateur d'une crise de liquidité majeure sur la dette italienne appelle ainsi des décisions urgentes de la part des instances européennes pour endiguer la contagion. Il semblerait que ce soit le cas ce matin (achats de titres italiens et espagnols par l'Eurosystème), sans grand effet pour l'heure sur les rendements." AUT/ALO
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