(AOF / Funds) - Dans son atelier " perspective 2012 et stratégie d'investissement " la banque revient sur sa vision quant à l'investissement en actions cette année. Ainsi, " des turbulences sont à attendre sur la 1ère partie de 2012, notamment concernant la situation en zone euro et les échéances de refinancement. Du coté des Etats-Unis, la banque s'interroge tout de même sur l'avenir du pays et combien de temps ce dernier restera à l'abri du ralentissement mondial. Enfin, la Chine serait peut être en " soft landing " pendant que le baril du pétrole reste élevé ". Dans son atelier " perspective 2012 et stratégie d'investissement " la banque revient sur sa vision quant à l'investissement en actions cette année. Ainsi, " des turbulences sont à attendre sur la 1ère partie de 2012, notamment concernant la situation en zone euro et les échéances de refinancement. Du coté des Etats-Unis, la banque s'interroge tout de même sur l'avenir du pays et combien de temps ce dernier restera à l'abri du ralentissement mondial. Enfin, la Chine serait peut être en " soft landing " pendant que le baril du pétrole reste élevé ". Malgré cela, " les mauvaises nouvelles sont globalement pricées et la zone Euro met en place les solutions annoncées, avec une BCE plus souple et un Euro déprécié. Ainsi, l'aversion pour le risque baisse durablement et les multiples de valorisation se dilatent ". Pourtant pour la banque, il est trop tôt pour revenir sur les émergents, " l'inflation n'est pas encore complètement sous contrôle et il y a un vrai manque de visibilité sur l'ampleur du ralentissement en Chine. Pourtant, les émergents restent un levier sur la croissance mondiale... qui reste modeste. Malgré cela, le desserrement de leurs politiques monétaires peut entraîner une dépréciation de leur devise et tarir les flux d'investissement sur leurs bourses. Quoiqu'il en soit, le thème séculaire des émergents reste néanmoins entier, avec des fondamentaux de meilleure qualité que ceux des développés ". Sur les marchés développés, la banque affiche sa préférence à court terme pour les Etats-Unis par rapport à l'Europe. En effet, " le marché US reste défensif, malgré les élections et le sujet de la dette. Pourtant, il existe une possibilité de rattrapage des actions de la zone Euro dans un second temps. Au final, la dépréciation de l'euro favorisera les exportatrices européennes au détriment des américaines: industrielles, consommation discrétionnaire ". AUT/ALO
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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