(AOF) - BD Multimedia, le groupe de services de micropaiement à destination des PME/PMI et de solutions informatiques, a presque multiplié par deux son chiffre d'affaires du premier semestre sur un an. Sur les six premiers mois de l'année, BD Multimedia a annoncé 19,9 millions d'euros de chiffre d'affaires contre 10,8 millions un an plus tôt. Cette forte progression résulte de l'activité Micropaiement qui a bondi de 169% à 14,370 millions. BD Multimedia développe un système de micropaiement pour des contenus payants de sites Internet à travers un code Allopass. L'internaute doit effectuer un appel ou envoyer un SMS pour obtenir le code donnant accès au contenu Internet. Toutefois, l'adoption d'un nouveau code de déontologie s'appliquant aux acteurs du secteur a amené le groupe à écarter certains clients éditant des jeux ne rentrant plus dans la typologie admise. De plus, le groupe a intensifié et complété ses méthodes de contrôle et de limitations des trafics excessifs sur Smartphones. De ce fait, BD Multimedia a avancé que le nombre d'inscrits et d'utilisateurs, indicateurs avancés de la croissance du groupe, sont en très forte hausse. BD Multimedia continue à enrichir l'offre de nouvelles fonctions : tel que le lancement de sites internationaux, tout d'abord en Anglais au cours du dernier trimestre 2012. Les efforts marketing restent soutenus et les équipes tournées vers l'international.
Opérateurs télécoms
Cinq grands opérateurs font l'objet d'une enquête de la part de la Commission européenne. Cette dernière a envoyé un questionnaire à l'association des opérateurs GSMA et à France Télécom, Deutsche Telekom, Telecom Italia, Telefonica et Vodafone, pour obtenir des informations sur les conditions de standardisation des futurs services de communications mobiles. L'objet de ce questionnaire est de déterminer la nature exacte du club informel qu'ils ont constitué en octobre 2010. Ce club a été créé à l'initiative de Stéphane Richard, alors à la tête de France Télécom. Il s'est réuni une demi-douzaine de fois depuis, pour évoquer leur stratégie et leur coopération technique. Il est vrai que face aux services souvent gratuits proposés par des concurrents tels qu'Apple, Google, Netflix ou Facebook, les grands opérateurs ont du mal à développer de nouveaux services et technologies. Les autorités européennes désirent s'assurer que ces réunions n'ont pas donné lieu à une forme d'entente. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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