(AOF / Funds) - Après la phase de spéculation immobilière et la crise sévère qui l'a suivie, l'analyse dominante des perspectives du secteur immobilier aux Etats-Unis est des plus prudentes, marquée par la leçon de la période 2007-2009 entame Pierre Ciret, économiste chez Edmond de Rothschild Asset Management. La thèse la plus répandue selon l'analyste est que, après une stabilisation attendue en 2012, une reprise pourrait se manifester l'an prochain. A l'appui de cette analyse, les économistes relèvent qu'en termes relatifs la construction résidentielle représente aujourd'hui un très modeste pourcentage de l'activité générale. En termes nominaux, l'investissement résidentiel est à son niveau de mi-1998 (373 milliards de dollars pour le deuxième trimestre 2012). Rapportée au PIB, sa part représente 2,4% alors que, au sommet du cycle, elle était supérieure à 6%. Aux yeux d'une majorité d'observateurs, la conclusion logique est donc qu'une accélération, même sensible, des dépenses de construction n'aurait qu'un effet limité sur le cycle économique. AUT/MAF
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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