(AOF) - Disney a annoncé hier soir l'acquisition de Lucasfilm pour 4,05 milliards de dollars, dont environ la moitié sera payée en numéraire et le solde par l'émission de 40 millions d'actions. Elle aura un impact relutif sur les comptes du groupe de médias américains à partir de 2015. Disney met la main sur la société de production de Georges Lucas, propriétaire des franchises La guerre des étoiles et Indiana Jones, mais aussi du spécialiste des effets spéciaux Industrial Light & Magic. " Il est maintenant temps pour moi de passer La Guerre des Etoiles à une nouvelle génération de réalisateurs. J'ai toujours cru que La Guerre des Etoiles me survivrait, et je pense qu'il était important de mettre la transition en place de mon vivant ", a déclaré Georges Lucas, propriétaire de 100% de Lucasfilm. " Cette transaction combine un portefeuille de contenus de classe mondiale, incluant La Guerre des Etoiles, l'une des plus grandes franchises de divertissement familial de tous les temps, avec la créativité unique de Disney sur plusieurs plateformes, ce qui générera une croissance durable et créera de la valeur à long terme ", a souligné le PDG de Disney, Robert Iger. Disney a indiqué qu'un nouvel épisode de la guerre des étoiles, le septième, sortirait en 2015, et que d'autres opus devraient suivre avec un intervalle de deux à trois ans. Les six premiers films ont récolté 4,4 milliards de dollars de recettes depuis leur sortie. Disney renforce ainsi ses contenus après les acquisitions du studio d'animation Pixar et des super-héros Marvel.
Communication - Medias
Les perspectives sont mauvaises pour les recettes publicitaires des médias cette année, alors que 2011 marquait une rupture. D'après les données de la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC), le chiffre d'affaires de la presse nationale d'information générale avait progressé de 1,9% l'an passé et celui de la presse quotidienne nationale de 2,7%, alors qu'il était en baisse continue depuis 2007. Les recettes publicitaires des quotidiens nationaux, qui reculaient depuis 2005, avaient augmenté de 1,9%. Selon une étude publiée par Havas Media, la presse écrite devrait affronter une baisse de 5,9% de ses recettes publicitaires au troisième trimestre 2012. En revanche le numérique pourrait voir ses recettes publicitaires s'accroître de 8,6% sur ce même trimestre. Pour affronter un contexte peu porteur, de grands titres, comme " Le Parisien ", " Les Echos " ou " Le Monde ", lancent des suppléments. En attirant de nouveaux annonceurs cette stratégie peut s'avérer très fructueuse. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
Dernière cloture | 112.95 USD | ||||||||
Date du cours | 15/04/2024 | ||||||||
|
Souscription en ligne
Plus besoin de remplir à la main tous les bulletins de souscription grâce à la pré-saisie ! Gagner en rapidité et en efficacité.
Des frais réduits
Nos équipes négocient avec les sociétés de gestion des frais réduits.
Des professionnels
à votre écoute
Nos experts sont à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches du lundi au vendredi : 0 805 09 09 09 (appel gratuit)