(AOF) - Le numéro un mondial des technologies de paiement électronique sécurisées a dévoilé des résultats mitigés au quatrième trimestre et des prévisions décevantes. Le concurrent du français Ingenico a vu son un bénéfice net chuter de 86,4% à 26,985 millions de dollars, ou 24 cents par action. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action a atteint 76 cents, en ligne avec les attentes. En revanche, son chiffre d'affaires est ressorti en dessous des attentes à 485,4 millions de dollars (+18,2%). Le marché attendait 495,01 millions. Les prévisions n'ont pas non plus été à la hauteur des attentes. Au premier trimestre, Verifone vise un bénéfice par action, hors éléments exceptionnels, compris entre 70 et 73 cents pour un chiffre d'affaires de 490 à 500 millions de dollars. Les analystes tablaient sur respectivement 75 cents et 498,55 millions de dollars. Sur l'exercice, il cible un bénéfice par action de 3,25 à 3,30 dollars pour un chiffre d'affaires de 2,05 à 2,1 milliards de dollars. Selon CIC, Verifone ne souhaite pas poursuivre seul le développement des produits équivalents de ceux proposés par Square auprès des petits marchands, mais envisagerait de passer par les intermédiaires financiers.
Constructeurs informatiques
Le cabinet d'études de marché NPD estime que les ventes de tablettes vont dépasser celles des ordinateurs portables d'ici quelques années. NPD table ainsi sur 416 millions de tablettes écoulées en 2017 contre 393 millions d'ordinateurs portables. Les ventes seront portées par la forte demande en Amérique du Nord, au Japon et en Europe de l'Ouest, qui représenteront globalement 66% des ventes en 2012. Les conceptions des deux grands constructeurs que sont Apple et Microsoft, sur l'avenir de l'ordinateur portable, semblent différer : Apple semble parier sur une distinction continue entre le portable classique et la tablette, comme en témoigne la présentation de sa nouvelle gamme de MacBook Pro, tandis que Microsoft semble davantage miser sur une certaine convergence, si l'on en juge par les caractéristiques de son futur système d'exploitation Windows 8, entièrement tourné vers le tactile.
Informatique - Editeurs de logiciels
Les acquisitions se multiplient dans le " cloud computing " (informatique externalisée). SAP a annoncé le rachat de la société californienne Ariba, spécialisée dans les applications pour commerçants, pour 4,3 milliards de dollars (3,36 milliards d'euros). Fin 2011 le groupe avait déjà annoncé la reprise de SuccessFactors, spécialiste des ressources humaines dans le cloud, pour 2,5 milliards d'euros. Quant à Adobe il a choisi, pour la première fois, de faire migrer sa suite logicielle " Creative Suite " dans le " cloud computing ", avec une version intitulée " Creative Cloud ", qui fonctionne à travers un abonnement mensuel. Même Microsoft s'y met : sa nouvelle suite " Windows 8 " est conçue pour être utilisée comme un service sur Internet, via une multitude de terminaux, et non plus comme un ensemble de logiciels installés sur un ordinateur. Ce mouvement ne se limite pas aux seuls acteurs des logiciels : Google a dévoilé un nouveau service d'infrastructures à la demande, " Compute Engine ", qui permettra à ses clients de bénéficier de ses propres " data centers ".
Informatique - SSII
Le cabinet d'études PAC a révisé ses objectifs de croissance annuelle du marché français : d'abord attendue en hausse de 0,9%, l'activité devrait finalement se contracter de 1,3% à 1,8%. Les SSII de taille moyenne, sans réelle spécialité ni valeur ajoutée, sont les plus menacées dans le contexte actuel selon la société d'études. Elles pourraient devenir des proies faciles, ce qui relancerait le mouvement de concentration du secteur. Ce mouvement a déjà repris avec l'OPA de 1,7 milliard de livres (2,1 milliards d'euros) réalisée par le groupe canadien CGI Group sur la SSII anglo-néerlandaise Logica. L'intérêt de cette opération pour le canadien, qui est l'un des principaux acteurs des technologies de l'information d'Amérique du Nord, est de renforcer sa présence en Europe. Logica est issu du mariage entre la société britannique éponyme et le néerlandais CMG. FTB/ACT/
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