(AOF / Funds) - François Chevallier, stratège de Banque Leonardo, estime que Wall Street est le maillon faible des marchés actions. Il explique que la hausse des actions doit tout aux banques centrales et notamment à la Fed, puisqu'en achetant des emprunts d'Etat à la pelle Ben Bernanke libère autant d'argent (1 020 milliards de dollars annuels) pour d'autres investissements et décourage les placements obligataires en déprimant les taux. Cette " perversion ", qui n'a pas encore dégénéré en folie ou en bulle sur les actions (mais pas sur les obligations) s'arrêtera avec le " quantitative easing (QE) ", avertit François Chevallier. Pour ce dernier, Wall Street est surévalué et vulnérable aux bonnes nouvelles comme la remontée des prix dans l'ancien et du moral des ménages, annonciatrices de la fin du " QE " AUT/ALO
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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