(AOF) - Environnement SA a réalisé en 2013 un chiffre d'affaires en hausse de 9% à 53 millions d'euros. Comme prévu, l'activité a été particulièrement tirée par la Chine (+85%) et le marché de suivi des émissions de dioxines sur la France, a indiqué que le groupe spécialisé dans la mesure de l'environnement. Même si la forte dévaluation de la roupie indienne survenue en 2013 a impacté l'activité de la filiale (+5% versus +27% à taux de change constant), la zone Asie reste le deuxième marché du groupe après l'Europe. Sur le marché européen, la pénétration d'Environnement SA se confirme au Royaume-Uni avec un quasi doublement du chiffre d'affaires en 2013. Les Etats-Unis retrouvent un niveau d'activité normatif avec de belles perspectives sur les prochaines années. L'activité à l'export représente 63% du chiffre d'affaires du groupe sur l'exercice 2013, avec 19% en Europe, 24% en Asie et 13% aux Amériques. Les Services représentent quant à eux 33,2% du chiffre d'affaires en 2013. Le département " Surveillance de la Qualité de l'Air " a profité du niveau élevé des ventes vers la Chine, comme la société l'annonçait en octobre dernier. C'est ainsi plus de 300 analyseurs qui ont été livrés et installés en l'espace de 3 mois. Le renforcement des mesures prises par la Chine face à la situation particulièrement critique de la qualité de l'air constitue toujours un important vecteur de croissance. L'activité " Contrôle des émissions de fumées " a fortement progressé (+28%), en particulier sur le marché des " Dioxines " grâce à l'expertise acquise dans ce domaine par le groupe. Le président d'Environnement SA, François Gourdon, conclut : " Nous venons pour la première fois de franchir le cap des 50 millions de chiffre d'affaires, une belle étape ! Les perspectives restent au beau fixe et les résultats aussi, ce dont je suis fier pour la société et pour ses équipes impliquées et motivées. "
Distribution spécialisée
Selon la Fédération pour l'urbanisme et le développement du commerce spécialisé (Procos), en décembre 2012 l'activité du commerce spécialisé a reculé sur un an de 3,5%, à périmètre comparable. Le démarrage plus tardif des congés d'hiver, la baisse du budget consacré par les Français à leurs achats de Noël et l'augmentation des ventes sur Internet expliquent cette tendance. La baisse d'activité a concerné tous les types de commerces et tous les secteurs. Sur l'ensemble de l'année l'activité a diminué de 0,9%. La timide embellie observée au premier trimestre (+2,1%) a été absorbée par la baisse d'activité au cours des mois suivants. Le commerce spécialisé n'a toujours pas rattrapé ses niveaux d'activité d'avant la crise de 2009. Le commerce en ligne voit sa croissance ralentir. La Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance) a annoncé une hausse de 19% du marché en 2012, à 45 milliards d'euros. Le marché est entré dans une phase de maturité : le taux de croissance était de 37% en 2006 et de 24% en 2010. Le commerce électronique devient de plus en plus concurrentiel, ce qui se traduit par une réduction du chiffre d'affaires moyen par site. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
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