(AOF) - Le groupe Walt Disney a affiché un nouveau trimestre de hausse de ses résultats et franchit ainsi de nouveaux records. Le groupe de médias et parcs d'attractions a publié au titre du quatrième trimestre, clos le 27 septembre, de son exercice décalé un bénéfice net en hausse de 7,5% à 1,5 milliard de dollars, ou 86 cents par action. Hors éléments exceptionnels, son profit est ressorti à 89 cents par titre, en ligne avec les attentes du consensus Reuters. Sur la période, le chiffre d'affaires du géant américain du divertissement a augmenté de 7,1% à 12,39 milliards de dollars. Les analystes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur 12,37 milliards. Sur l'ensemble de l'année, le bénéfice par action est ressorti, hors éléments exceptionnels, à 4,26 dollars, en hausse de 26% sur un an, et le chiffre d'affaires a grimpé de 8,4% à 48,81 milliards de dollars. Ce dernier constitue un nouveau record historique de revenu pour la quatrième année consécutive, a rappelé le PDG Robert A. Iger. En termes d'activités, chacun des segments de Walt Disney a enregistré une croissance de son revenu et de son résultat opérationnel sur l'année et le dernier trimestre, à l'exception du pôle Interactive, dédié au jeu vidéo. Son chiffre d'affaires sur les trois mois clos fin septembre, très marginal par rapport à l'activité global du groupe (2,9%), a cédé 8,6% à 362 millions de dollars. La sortie en DVD du film d'animation Frozen et le succès en salles des films Maléfique et Les gardiens de la galaxie ont continué à porter les revenus du groupe sur la période. Tous les indicateurs restent donc au vert pour The Walt Disney Company, dont le parcours financier semble sans faille depuis quatre ans. Son parcours boursier, lui aussi exemplaire, ne devrait pas faiblir aujourd'hui. Le groupe n'a pas formulé de perspectives chiffrées pour le trimestre en cours ou l'exercice 2014-2015.
Communication - Medias
La presse écrite française a continué à éprouver des difficultés l'an passé. Le chiffre d'affaires du secteur (quotidiens et magazines) a, en effet, perdu 5,3% en 2013, atteignant 8,25 milliards d'euros. C'est la sixième année consécutive de baisse d'activité pour le secteur. Cette évolution négative a surtout été provoquée par une baisse des recettes publicitaires, qui n'a pu être compensée par la progression des recettes numériques. La Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) estime que ces dernières représentaient à peine 5% du chiffre d'affaires des trois cents plus grands acteurs de la presse en France en 2013. L'an passé les ventes de diffusion (ventes au numéro et abonnements) ont baissé de 3,5% et les recettes publicitaires ont chuté de 8,5%, suite au recul des recettes liées à la vente d'encarts et aux petites annonces, qui souffrent particulièrement de la mauvaise conjoncture. La DGMIC prévoit que le secteur de la presse écrite française est installé de façon durable dans un cycle négatif et que son modèle économique doit se transformer en profondeur. FTB/ACT/
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. La valeur de l'investissement peut varier à la hausse comme à la baisse.
Dernière cloture | 112.94 USD | ||||||||
Date du cours | 17/04/2024 | ||||||||
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