CAC 40 : les derniers de la classe [Vidéo]

Est-ce que la frénésie acheteuse des banques centrales et la montée des incertitudes sur les marchés influe positivement sur le cours du précieux métal doré, qui a sérieusement dévissé après le pic de 2011 ?

Aux yeux de François-Xavier Chauchat, économiste et membre du comité d’investissement chez Dorval Asset Management, 2018 marque certes une rupture dans la dynamique boursière qui avait propulsé les marchés boursiers, et plus particulièrement Wall Street, au firmament, mais elle consacre avant tout la fin de la prééminence de la cote américaine tant en termes de performance boursière que de génération de profits. Une nouvelle donne pour les stratégies d’investissement.

Grâce au tombereau de liquidités déversé par les banques centrales, l’ensemble des actifs financiers risqués, et les actions au premier chef, se sont appréciés indépendamment de leur qualité. Quand le bateau a tangué, les investisseurs se sont massivement délestés sans plus de considération de leurs actions. L’insensibilité des investisseurs vis-à-vis de la qualité condamne-t-elle la gestion active à un rôle de figuration ?

Face aux craintes d'un retournement du marché de l'immobilier en cas de remontée des taux, les experts scrutent et évaluent la probabilité de voir ce scénario se réaliser en 2019. Le décryptage de Ludovic Huzieux, directeur associe d’Artémis courtage, aborde également les aides à la disposition des primo-accédants et celles à destination des investisseurs.