Bourse : est-il encore possible d'aller plus bas ?

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00:07 Sommes-nous proches de la fin de la correction sur les marchés boursiers ? La phase baissière a-t-elle atteint son apogée 05:41 Est-on entré dans la phase de capitulation ? 10:29 Les marchés accrochés à l'idée que les banques centrales vont changer leur fusil d'épaule ? 13:13 Quel est le signal attendu par les marchés ? 15:35 Les investisseurs doivent se préparer à une anticipation d'un revirement des politiques monétaires 17:12 Les anticipations de résultats intègrent-elles le risque récessionniste ? 21:46 Le meilleur moyen de protéger son portefeuille contre le risque exacerbé de multiplications des profit warnings 24:56 Comment repérer les secteurs et les valeurs à détenir et ceux qui profiteront de la reprise ? 28:40 Quelles dispositions prendre pour adapter son portefeuille au contexte actuel et futur 29:30 Profiter des décotes dans le secteur de la tech. Bonne ou mauvaise idée ? 33:14 Les infos à retenir

A l'occasion de notre dernier entretien réalisé au cours du mois de mai dernier, Bertrand Lamielle, directeur général de Portzamparc Gestion, avait pointé du doigt la forte proportion d'actions en tendance baissière au sein des 2 000 titres de la cote européenne et américaine suivis par la société de gestion. Près de 5 mois plus tard, la situation s'est encore dégradée puisqu'il recense désormais 68 % de sociétés baissières en Europe et 65 % de l'autre côté de l'Atlantique contre 60 % au printemps sur l'ensemble de l'échantillon de valeurs analysé par Portzamparc. Est-ce là, de l'avis de cet expert des marchés, le signal que nous sommes plus ou moins parvenus à la fin de la purge et que la phase baissière arrive à son terme ?

Au cours de cette interview, nous avons également voulu savoir si Bertrand Lamielle jugeait la thèse du « pivot », c'est-à-dire celle d'un virage à 180 degrés de la politique monétaire de la FED suffisamment crédible pour l'intégrer dans la construction des portefeuilles actions. La question, loin d'être anodine, mérite d'être posée à la lueur de l'élan d'optimisme constaté sur les marchés actions, -le CAC 40 a bondi de 6,5 % en trois séances (celles du 30 septembre et des 3 et 4 octobre), suite au rachat d'obligations souveraines par la Banque d'Angleterre ainsi que de l'annonce d'une forte contraction du nombre de postes vacants aux Etats-Unis.

Découvrez l'intégralité de cet entretien en compagnie de Bertrand Lamielle en cliquant sur la vidéo ci-dessus.

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