EDF, qui grimpait finalement de 6% en clôture parisienne vendredi, à 44,24 euros, plus forte hausse du CAC et même du SRD, dans un marché actif de 3,2 MT échangés, lâche quelques centimes d'euro sur les 44 euros ce lundi, consolidant à peine malgré une chute de 1,7% du CAC 40 à quelques instants de la clôture.
Le Groupe avait profité en fin de semaine dernière de l'annonce de son CA semestriel, chiffré à 30,4 MdsE, en croissance de 20,5% en glissement annuel sur une base publiée, et de 12,3% en données organiques. Sur cette dernière base et en ce qui concerne les principaux marchés, la France progressait de 7% à 16,5 MdsE, la Grande-Bretagne de 25% à 4 MdsE, l'Allemagne de 19% à 3 MdsE, l'Italie de 47% à 2,9 MdsE.
Hors effets périmètre, change et méthode, la croissance organique du chiffre d'affaires ressortait donc à 12,3% pour le Groupe. Elle était principalement tirée par les activités internationales, en hausse de 20,7%. La France était donc en progression de 7%.
"La progression du chiffre d'affaires confirme le bon positionnement d'EDF en Europe. Conformément au projet industriel du Groupe, les investissements mis en oeuvre, notamment dans de nouveaux moyens de production, vont renforcer la place d'EDF comme acteur stratégique du secteur de l'énergie", déclarait encore Pierre Gadonneix, Président Directeur Général d'EDF.
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