Wall Street qui est retombé lourdement hier soir sur des indicateurs de conjoncture plus mauvais que prévu du côté de la consommation US en particulier a rappelé aux plus optimistes que la crise n'était pas encore réglée outre-Atlantique et que les rechutes boursières restaient possibles à tout moment... Sur les devises, la parité euro/dollar s'est tendue à 1,3250 entre banques. Les commentaires économiques prudents du Président Barack Obama n'ont pas aidé la tendance en bourse, alors que le président US a estimé que les Etats-Unis n'étaient certainement pas encore sortis d'affaire d'un point de vue économique. Les temps "sont toujours difficiles" selon Obama qui juge que l'on commence sans doute à voir des "lueurs d'espoir", mais qui affiche donc encore sa prudence, en expliquant que la vision du futur de l'Amérique est désormais "très différente" du passé.
Dans un discours prononcé à Atlanta, Ben Bernanke avait lui aussi décrit un peu plus tôt hier des signaux positifs, tout en laissant également entendre que la sortie de crise n'était pas pour tout de suite...
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