(AOF / Funds) - La contribution de l'immobilier à la croissance américaine sera, en 2010, bien inférieure à ce qu'elle a pu être lors des précédentes reprises, affirme Axa Investment Managers. Le gestionnaire d'actifs rappelle que l'embellie constatée l'année dernière s'explique en grande partie par le soutien public. Même s'il estime que le pire est dans derrière nous, il souligne que l'excès d'offre de logements sur le marché constitue toujours une contrainte forte à une franche reprise de la construction. Axa IM explique aussi que des prix déprimés et des défaillances toujours élevées sont de nature à peser sur le système financier convalescent, sur la disponibilité du crédit, et à contraindre ainsi plus avant le rythme de la reprise.