Lunettes noires ou lunettes roses...
Le consensus n'est pas de mise entre experts. Alors que certains comme Jean-Pierre Petit (Les Cahiers Verts de l'Economie) ou Xavier Gandrille (Amplégest) voient l'environnement rester globalement favorable aux actions, d'autres comme Patrick Artus (Natixis) promettent à ceux qui se risquent en bourse des lendemains qui déchantent. Entre lunettes noires et lunettes roses, le débat fait donc rage. Sicavonline vous propose de confronter analyses et arguments des uns et des autres.
Investir ou ne pas investir en actions ? Telle est la question. La frilosité des investisseurs à revenir en bourse est quasi-unanimement constatée par les acteurs de la place. Traumatisés par deux krachs en moins de dix ans, particuliers et institutionnels regimbent à prendre du risque. A tort considère Jean-Pierre Petit (Les Cahiers Verts de l'Economie) qui voit au contraire le marché actions s'engager dans un nouveau cycle de hausse. Une hypothèse à laquelle ne se risque pas forcément, Xavier Gandrille (Amplegest), mais ce dernier estime néanmoins que les marchés actions bénéficient d'un environnement plutôt positif et qu'à prime de risque inchangée, « ils peuvent monter ». Cet optimisme mesuré, Patrick Artus ne le partage même pas. Le directeur des Etudes et de la Recherche de Natixis considère au contraire que les investisseurs dans leur grande cécité omettent plusieurs raisons pour ne pas rêver en bourse de lendemains radieux. Voir l'analyse de Patrick Artus (Natixis) : Tous ruinés ? Voir l'analyse de Jean-Pierre Petit (Cahiers Verts de L'Economie): La fin du pire et le début du mieux Voir l'analyse de Xavier Gandrille (Amplégest) : Actions : de bonnes raisons d'être confiants pour Amplégest
© Synapse. Les contenus (vidéos, articles) produits par Synapse font appel à des journalistes professionnels. Ils ne constituent pas des conseils en investissement ou des recommandations personnalisées. Le diffuseur n'a participé ni à l'élaboration de ce contenu ni à la sélection des valeurs/fonds mentionnés. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L'investissement sur les marchés comporte un risque de perte en capital et aucune garantie de gain ne peut être octroyée.