(AOF) - Afin d'évaluer et de comparer l'empreinte eau de sept de ses plus grandes usines dans le monde, Vallourec a fait appel au nouvel outil de mesure et d'aide à la décision de Veolia Eau : le Water Impact Index (WIIX). L'eau, essentielle dans le processus de production de Vallourec, fait l'objet de la part du groupe d'une attention permanente et d'une démarche de réduction volontariste. En 10 ans, les prélèvements d'eau du leader mondial des solutions tubulaires premium pour l'industrie pétrolière et gazière, rapportés à la tonne de tube produite, ont déjà été réduits de 40 %. Aujourd'hui, Vallourec veut aller plus loin que la simple mesure des prélèvements et connaître le véritable impact de l'usage qu'il fait de l'eau sur les milieux naturels. C'est pourquoi, Vallourec a choisi Veolia Eau pour l'accompagner dans l'évaluation de l'empreinte eau de ses 7 sites les plus importants, à travers la nouvelle grille de lecture du Water Impact Index (WIIX) ; Saint-Saulve (Aciérie et tuberie) et Déville-les-Rouen en France, Mulheim et Rath en Allemagne, Youngstown aux Etats-Unis et Belo Horizonte au Brésil.
- Le groupe dispose des technologies de pointe dans le tri et fait preuve d'innovation dans le recyclage des produits dangereux.
Les points faibles de la valeur
- Le groupe a perdu la confiance des marchés suite à des déceptions répétées. Il faudra du temps pour la regagner. Les " profit warning " successifs de juillet et de novembre 2011 ont un peu plus entaché cette confiance ; - La crise a révélé le caractère cyclique de l'activité Propreté de Veolia et la dépendance de l'activité Recyclage aux cours des matières premières recyclées ; - Les investisseurs sont très sceptiques sur le timing du retour à la rentabilité du groupe. Les métiers de Veolia sont des métiers de long terme. La rentabilité met donc du temps à se redresser ; - Le plan de restructuration annoncé fin 2011, avec un recentrage autour de 3 métiers (eau, propreté et services à l'énergie) et d'importantes cessions d'actifs (5 M FTB/ACT/