STREAMWIDE reste confiant pour 2012

24/09/2012 - 17:58 - Option Finance

(AOF) - StreamWIDE a réalisé au premier semestre 2012 un résultat net de 7 000 euros contre 612 000 euros un an plus tôt. Sur les 6 premiers mois de l'année, le résultat opérationnel courant ressort à 47 000 euros, contre 1,261 million au premier semestre 2011. Le spécialiste des solutions de téléphonie pour les opérateurs télécoms indique que ces résultats ne sont que peu représentatifs des attentes du groupe pour l'ensemble de l'exercice 2012. La situation semestrielle ne reflète pas les bonnes performances commerciales réalisées par le groupe au cours de la période, car des retards opérationnels ont été constatés chez certains opérateurs, décalant d'autant les revenus du groupe. Ces retards devraient être comblés au second semestre et un rebond important des revenus et des résultats est donc à attendre, assure StreamWIDE. Le chiffre d'affaires augmente de 0,2 million à 5,506 millions au premier semestre 2012. Ce dernier est marqué par une diminution des ventes de licences, suite à des retards opérationnels de mise en production de certaines plateformes significatives, constatés chez certains clients au 30 juin 2012, et indépendants du groupe. Les perspectives de revenus au second semestre de l'exercice, notamment dans la zone américaine, devraient permettre à StreamWIDE de compenser le retard constaté au 30 juin 2012 sur le chiffre d'affaires licences. Les retards pris par certains clients dans la mise en production de leurs systèmes ayant été comblés en partie durant l'été, les revenus annuels du groupe devraient être en progression marquée. En dépit d'un contexte économique mondial nécessitant toujours une certaine prudence, le groupe reste donc confiant quant à la tendance annuelle 2012.

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LE SECTEUR DE LA VALEUR

Informatique - Editeurs de logiciels

Les acquisitions se multiplient dans le " cloud computing " (informatique externalisée). SAP a annoncé le rachat de la société californienne Ariba, spécialisée dans les applications pour commerçants, pour 4,3 milliards de dollars (3,36 milliards d'euros). Fin 2011 le groupe avait déjà annoncé la reprise de SuccessFactors, spécialiste des ressources humaines dans le cloud, pour 2,5 milliards d'euros. Quant à Adobe il a choisi, pour la première fois, de faire migrer sa suite logicielle " Creative Suite " dans le " cloud computing ", avec une version intitulée " Creative Cloud ", qui fonctionne à travers un abonnement mensuel. Même Microsoft s'y met : sa nouvelle suite " Windows 8 " est conçue pour être utilisée comme un service sur Internet, via une multitude de terminaux, et non plus comme un ensemble de logiciels installés sur un ordinateur. Ce mouvement ne se limite pas aux seuls acteurs des logiciels : Google a dévoilé un nouveau service d'infrastructures à la demande, " Compute Engine ", qui permettra à ses clients de bénéficier de ses propres " data centers ". FTB/ACT/