(AOF / Funds) - Banque Leonardo estime que, contrairement à ce que suggèrent les indices globaux, les actions européennes ne seraient plus sous-évaluées et auraient retrouvé hors secteurs sinistrés (télécoms, " utilities ", compagnies pétrolières et sociétés financières) leur niveau d'avant 2008, en relatif (PER). C'est ce que montre l'indice européen allégé du stratège, qui avec un PER de 13,1 se situe exactement dans la moyenne de la première moitié des années 2000. Mais à défaut de valeurs décotées, François Chevallier souligne qu'il est possible de trouver d'excellentes valeurs de croissance bénéficiant notamment du dynamisme des pays émergents. Banque Leonardo attribue la poursuite en solitaire du rally des actions européennes par la restructuration inattendue de la dette grecque. AUT/ALO