Les rumeurs de rapprochement entre les assureurs français Axa et son homologue italien Generali sont récurrentes sur les marchés. Mais Antoine Bernheim, le président de Generali, est catégoriquement opposé à un tel rapprochement "qui ne se produira pas tant que je serai là" a-t-il martelé lors de l'assemblée général du groupe italien qui se tenait samedi.
Le mandat actuel d'Antoine Bernheim court jusqu'à l'assemblée générale de 2007. "Aujourd'hui, il est indispensable pour les intérêts de l'Italie que Generali reste une société italienne, contrôlée majoritairement par un capital italien" a affirmé le dirigeant.
Il a admis qu'Axa pourrait être intéressé par l'acquisition de Generali, mais il a ajouté ne pas croire à un "péril imminent", soulignant que "Generali est une entreprise coûteuse".
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