AKKA TECHNOLOGIES : le constructeur automobile BAIC choisit sa filiale MBtech China

30/05/2013 - 18:29 - Option Finance

(AOF) - Akka Technologies annonce que le constructeur automobile chinois BAIC, qui a récemment resserré ses liens avec Daimler, utilisera la compétence d'ingénierie de sa filiale MBtech China. BAIC (Beijing Automotive Industry Co) veut s'imposer sur le segment medium et premium chinois et entend mener un rythme de développement d'au moins 15 nouveaux modèles par an. Le premier grand projet porte sur la conception de ses nouveaux modèles C90 qui utiliseront la plateforme de production de la Mercedes Classe E. Gu Lei, Président de Beijing Automotive Research Institute, déclare dans un entretien pour Netcom : " Le renforcement de nos équipes R&D et l'intégration de l'ingénierie de conception de fabricants réputés font partie de la stratégie de BAIC visant à préparer la voie aux nouveaux modèles. 2 éléments clés ont permis la forte accélération du potentiel d'ingénierie de BAIC : l'intégration des équipes R&D de SAAB et la coopération étroite avec MBtech China ".

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Subissant la contraction de l'activité économique et le durcissement de la concurrence, les grands groupes de travail temporaire ont affiché une dégradation de leurs performances l'an passé. Adecco a vu son chiffre d'affaires baisser de 3% à 20,53 milliards d'euros et ses bénéfices nets chuter de 27% à 377 millions d'euros. Le leader mondial du travail temporaire a dû affronter une diminution du nombre de travailleurs temporaires en mission (-11,5%). Ce sont essentiellement les mauvais résultats de sa filiale française, qui représente quasiment le quart de son activité, qui expliquent le recul de ses indicateurs. Synergie a pu maintenir son activité en 2012 (à 1,44 milliard d'euros) grâce à une solide présence à 'international. Ses revenus hors de France représentent 43% de son activité. Toutefois, en dépit d'un renforcement de la maîtrise de ses coûts, le résultat opérationnel a été ramené de 48,2 millions d'euros en 2011 à 40,4 millions en 2012. Quant à Randstad, numéro deux mondial de l'intérim, son bénéfice net a chuté de 79% à 36,7 millions d'euros. Néanmoins, porté par les acquisitions aux Etats-Unis, le chiffre d'affaires s'est développé de 5% à 17,1 milliards d'euros. FTB/ACT/